Des hautes plaines sans humains
Les mers vertes, les vagues
Longues des pâturages
Le silence
des puys dormants, des orgues
qui ont arrêté le chant
de leur chanson de lave
Là où des coques dérivent,
D’un noir brillant et rare
Sous la lumière chaude
D’un astre qui s’éclate
Nage lente une vache
Dans le courant sylvain
les cornes emprisonnés
Par une branche d’aulne
Poésie de paysage, Volcans de France 22 juillet 2002 © Foto e testo Maria Teresa Schiavino
Poésie de pur paysageultima modifica: 2016-03-24T13:33:27+01:00da
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