Poésie de pur paysage

Écrire le calme stupéfait Des hautes plaines sans humains Les mers vertes, les vagues Longues des pâturages Le silence des puys dormants, des orgues qui ont arrêté le chant de leur chanson de lave   Là où des coques dérivent, D’un noir brillant et rare Sous la lumière chaude D’un astre qui s’éclate   Nage lente une vache Dans le … Continua a leggere